Tu peux en rire aujourd’hui… mais Petrowski avait raison! 😂😂😂😂 Afficher cette publication sur Instagram Une publication partagée par ICI Première (@icircpremiere) Commentaire inutile à m’envoyer: c’Est quoi ce show? Navigation des articles ← Carney a menti le 28 mars dernier? Ti-Clin Deltell se fait ramasser concernant l’avortement! → 16 Commentaires Commentaires en ligne Afficher tous les commentaires Auguste 6 jours il y a Faire rire est plus difficile que faire pleurer, un peu comme en musique la mélancolie est plus facile que la joie. Les apprentissages par la souffrance sont aussi plus vulgaires et plus faciles que les apprentissage par le plaisir. Ce qui touche par la douleur est facile. Ce qui élève par la joie demande plus d’effort. Beethoven, ce n’est pas un ti-coune. Dedans là -d'dans 6 jours il y a Répondre à Auguste Vézine ? 😴 Vézine 6 jours il y a Répondre à Dedans là -d'dans Et bien non, Auguste est bel et bien Auguste. Je voix que tu t’ennuies. J’ai besoin de temps de réflexion avant d’écrire ou de parler. C’est peut-être un défaut à notre époque. Bon printemps à toi. N’oublie pas de regarder pousser les pissenlits. Qui l'eut cru 6 jours il y a Répondre à Auguste Faire pleurer est bien plus difficile que faire rire. La tristesse exige une profondeur que la légèreté ne connaît pas. Une blague passe, s’oublie ; une blessure, jamais. En musique, la joie est superficielle – une gamme majeure, un rythme entraînant, et le tour est joué. Mais la mélancolie ? Elle exige des nuances infinies, des silences calculés, des harmonies qui fouillent l’âme. Les apprentissages par la souffrance ne sont pas vulgaires – ils sont nécessaires. La douleur grave ses leçons dans la mémoire, tandis que le plaisir glisse comme l’eau sur la pierre. Ce qui élève par la joie est éphémère ; ce qui marque par la douleur transforme. Et Beethoven, justement, n’a pas écrit l’Ode à la Joie en ignorant les ténèbres. C’est parce qu’il a traversé la nuit qu’il a pu toucher à la lumière. Auguste 6 jours il y a Répondre à Qui l'eut cru Intéressant, mais : – Tu confonds complexité et profondeur. – La légèreté n’est pas superficielle. – En musique, les mélodies tristes sont mécaniquement plus simples (tout le monde le sait, les musiciens le disent tout le temps). La joie demande plus de créativité. – Ce qui élève par la joie transforme aussi (l’amour, la naissance d’un enfant, etc.). On va mettre de l'ordre 5 jours il y a Répondre à Auguste « Tu confonds complexité et profondeur » Excuse le, il est innocent². C’est le texte que son xIA lui a pondu. Tergiversation quelconque 6 jours il y a Répondre à Auguste Une blague de pet lancée en quatre secondes et demi pourra toujours réussir faire rire une foule, alors qu’il est impossible de la faire pleurer en un aussi court laps de temps. Faire rire est simple et rapide, faire pleurer exige temps et effort. Au niveau de l’interprétation, la douleur demande également plus d’effort. En fait, la joie n’exige rien de particulier, sinon la présence d’un minimum d’entrain, alors que la souffrance exige à l’interprète de puiser au plus profond de lui-même. N’importe qui pourrait réussir à faire rire sur scène (même toi), mais ce n’est pas tout le monde qui pourrait réussir à faire pleurer (probablement pas toi). Les spectateurs acceptent facilement de se livrer au rire, mais l’inverse n’est pas vrai : le spectateur doit accepter de se laisser attendrir par quelqu’un, il doit donner son accord tacite après s’être laissé tranquillement convaincre. Rater une blague créera simplement un malaise, sans plus. On passera rapidement à autre chose. Rater une scène dramatique, en revanche, est tellement risquée que la rater est plus ou moins envisageable. Cependant, magie ! Lorsque malgré tout la scène dramatique échoue, elle devient malgré elle…comique ! La douleur mal interprétée se mue donc en humour, et la souffrance mal jouée engendrera le fou rire. Le contraire ne se vérifie évidemment pas. Le rire est donc tellement facile à atteindre, qu’il joue le rôle de supplétif naturelle au drame qui rate. On comble le vide par le rire, mais la douleur s’inscrit sur la trame du vide. Bon, ceci étant dit, j’en profit pour souligner que Carney est visiblement un menteur pathologique et qu’il serait assez stupide que le bon peuple vote aveuglément pour un tel personnage. Héhé. Auguste 6 jours il y a Répondre à Tergiversation quelconque Faire pleurer est facile : il suffit d’un violon et d’un drame. Les jokes de pets font rire les enfants et les ti-counes. Ce sera tout. Tergiversation très quelconque 5 jours il y a Répondre à Auguste Auguste personnage, qui ne donne ni envie de rire ni envie de pleurer, mais dont on pourra toujours saluer la générosité dont il fait preuve lorsque vient le temps de démonter l’étendue de sa stupidité. Ce sera tout, en effet. Bildeberg Carney WEF 6 jours il y a Une chose sur laquelle lui et Petrowski sont d’accord c’est sur les confinements et la vaccination à tout prix. Keuvène 6 jours il y a Répondre à Bildeberg Carney WEF La vériter va sortire bientaud! Libérez nous des libéraux! 6 jours il y a Petrosski est passée date. Huard est bon dans son genre a lui, si tu aimes ça, c’est Ok. Une slave d’applaudissements 6 jours il y a Répondre à Libérez nous des libéraux! Je dirais que lui aussi est « passé date »! Quoiqu’il n’a jamais vraiment levé sauf pour les ti-counes. Il faut écrire: une salve « pauvre illettré! » 6 jours il y a Répondre à Une slave d’applaudissements Le ti-coune et sa slave d’applaudissements! Mouaaaaaa! je cause juste 6 jours il y a pis ca marché? Elle s’était fourvoyé sur Roch Voisine à son peak itou Confucius 6 jours il y a Petrowski avait raison… Ah oui ?
Faire rire est plus difficile que faire pleurer, un peu comme en musique la mélancolie est plus facile que la joie.
Les apprentissages par la souffrance sont aussi plus vulgaires et plus faciles que les apprentissage par le plaisir.
Ce qui touche par la douleur est facile. Ce qui élève par la joie demande plus d’effort.
Beethoven, ce n’est pas un ti-coune.
Vézine ?
😴
Et bien non, Auguste est bel et bien Auguste. Je voix que tu t’ennuies. J’ai besoin de temps de réflexion avant d’écrire ou de parler. C’est peut-être un défaut à notre époque.
Bon printemps à toi. N’oublie pas de regarder pousser les pissenlits.
Faire pleurer est bien plus difficile que faire rire. La tristesse exige une profondeur que la légèreté ne connaît pas. Une blague passe, s’oublie ; une blessure, jamais.
En musique, la joie est superficielle – une gamme majeure, un rythme entraînant, et le tour est joué. Mais la mélancolie ? Elle exige des nuances infinies, des silences calculés, des harmonies qui fouillent l’âme.
Les apprentissages par la souffrance ne sont pas vulgaires – ils sont nécessaires. La douleur grave ses leçons dans la mémoire, tandis que le plaisir glisse comme l’eau sur la pierre. Ce qui élève par la joie est éphémère ; ce qui marque par la douleur transforme.
Et Beethoven, justement, n’a pas écrit l’Ode à la Joie en ignorant les ténèbres. C’est parce qu’il a traversé la nuit qu’il a pu toucher à la lumière.
Intéressant, mais :
– Tu confonds complexité et profondeur.
– La légèreté n’est pas superficielle.
– En musique, les mélodies tristes sont mécaniquement plus simples (tout le monde le sait, les musiciens le disent tout le temps). La joie demande plus de créativité.
– Ce qui élève par la joie transforme aussi (l’amour, la naissance d’un enfant, etc.).
« Tu confonds complexité et profondeur »
Excuse le, il est innocent².
C’est le texte que son xIA lui a pondu.
Une blague de pet lancée en quatre secondes et demi pourra toujours réussir faire rire une foule, alors qu’il est impossible de la faire pleurer en un aussi court laps de temps. Faire rire est simple et rapide, faire pleurer exige temps et effort.
Au niveau de l’interprétation, la douleur demande également plus d’effort. En fait, la joie n’exige rien de particulier, sinon la présence d’un minimum d’entrain, alors que la souffrance exige à l’interprète de puiser au plus profond de lui-même. N’importe qui pourrait réussir à faire rire sur scène (même toi), mais ce n’est pas tout le monde qui pourrait réussir à faire pleurer (probablement pas toi). Les spectateurs acceptent facilement de se livrer au rire, mais l’inverse n’est pas vrai : le spectateur doit accepter de se laisser attendrir par quelqu’un, il doit donner son accord tacite après s’être laissé tranquillement convaincre.
Rater une blague créera simplement un malaise, sans plus. On passera rapidement à autre chose. Rater une scène dramatique, en revanche, est tellement risquée que la rater est plus ou moins envisageable. Cependant, magie ! Lorsque malgré tout la scène dramatique échoue, elle devient malgré elle…comique ! La douleur mal interprétée se mue donc en humour, et la souffrance mal jouée engendrera le fou rire. Le contraire ne se vérifie évidemment pas. Le rire est donc tellement facile à atteindre, qu’il joue le rôle de supplétif naturelle au drame qui rate.
On comble le vide par le rire, mais la douleur s’inscrit sur la trame du vide.
Bon, ceci étant dit, j’en profit pour souligner que Carney est visiblement un menteur pathologique et qu’il serait assez stupide que le bon peuple vote aveuglément pour un tel personnage.
Héhé.
Faire pleurer est facile : il suffit d’un violon et d’un drame. Les jokes de pets font rire les enfants et les ti-counes.
Ce sera tout.
Auguste personnage, qui ne donne ni envie de rire ni envie de pleurer, mais dont on pourra toujours saluer la générosité dont il fait preuve lorsque vient le temps de démonter l’étendue de sa stupidité.
Ce sera tout, en effet.
Une chose sur laquelle lui et Petrowski sont d’accord c’est sur les confinements et la vaccination à tout prix.
La vériter va sortire bientaud!
Petrosski est passée date. Huard est bon dans son genre a lui, si tu aimes ça, c’est Ok.
Je dirais que lui aussi est « passé date »! Quoiqu’il n’a jamais vraiment levé sauf pour les ti-counes.
Le ti-coune et sa slave d’applaudissements! Mouaaaaaa!
pis ca marché?
Elle s’était fourvoyé sur Roch Voisine à son peak itou
Petrowski avait raison… Ah oui ?