Apprends à lire. Il dit vouloir supprimer la taxe, mais garder la bourse carbone. Une fois que tu sauras lire, il ne te restera plus qu’à comprendre la différence entre les deux systèmes.
À en juger par le nombre de « likes », vous serez nombreux au cours de compréhension de texte.
Son propre programme de pro lui profite pas trop
1 mois il y a
Les coucous vont capoter si le PQ a trouvé une contradiction à Duhaime dans son propre programme. Ils vont crier au sabotage.
Qui l'eut cru
1 mois il y a
La taxe fédérale sur le carbone impose un prix direct sur les émissions de gaz à effet de serre (GES). Son principe est simple : tu pollues, tu payes.
En parallèle, la bourse du carbone est un marché où les entreprises doivent détenir un droit d’émission pour chaque tonne de CO₂ émise. En somme : tu achètes le droit de polluer.
Duhaime cible la taxe fédérale sans doute parce qu’elle est plus directement perceptible (par l’augmentation des prix), bien que les deux systèmes aboutissent à faire porter leurs coûts sur les consommateurs.
Reste une question clé : ces mesures réduisent-elles réellement les GES, ou les progrès observés viennent-ils des technologies ou d’une prise de conscience générale ?
Quant à l’argument de Duhaime – proposant de réduire nos efforts environnementaux au motif que la Chine pollue plus –, c’est une profonde débilité.
Enfin, tout ce débat repose sur l’idée que les GES sont nuisibles, une prémisse que je ne partage pas entièrement.
Qui l'eut cru
1 mois il y a
Le PQ excelle lui aussi dans l’art de rire du monde.
Ils promettent d’aligner nos prix sur l’Ontario (où l’essence est 15 ¢ moins chère), tout en maintenant la taxe carbone – qui ajoute 8 à 10 ¢/litre et que 56 % de la population veut abolir. Leur solution ? Une réduction de 7 à 14 ¢ le litre !! Oui ! Oui ! 7 à 14 ¢ pour combler un écart de 15 ¢. Leur comptable doit certainement compter avec ses doigts.
Et comment comptent-ils réduire les prix ? Soit en abaissant la TVQ sur l’essence (ce qui priverait l’État de 800 millions à 1,5 milliard), soit en lançant un nouveau programme de remboursements (et donc encore plus de bureaucratie).
Mais après tout, avec un déficit de 13 milliards, qu’est-ce qu’un ou deux milliards de plus ?
Si l’absurdité était une monnaie, le PQ aurait déjà comblé le déficit.
Éric Dugraine
1 mois il y a
Douche
Cerf-gaze
1 mois il y a
Surtout lorsque Duhaime mentionne que l’on se fait pomper !
Dans sa bouche, ça sonne…ahhhhhhhhh
Il faudrait que quelqu’un lui lise son programme de parti. Ça le rendrait pas plus brillant mais moins cav3.
« Je vais dire que je vais annuler la taxe, mais aussi dire que je ne l’annulerai pas. Tout le monde va m’aimer! Ça, ça va coller! »
Bonjour M. Carney !
Vieux programme. Pas pour rien que le PQ cache son programme de la dernière élection.
Les chars au gaz interdits dans 4 ans.
Apprends à lire. Il dit vouloir supprimer la taxe, mais garder la bourse carbone. Une fois que tu sauras lire, il ne te restera plus qu’à comprendre la différence entre les deux systèmes.
À en juger par le nombre de « likes », vous serez nombreux au cours de compréhension de texte.
Les coucous vont capoter si le PQ a trouvé une contradiction à Duhaime dans son propre programme. Ils vont crier au sabotage.
La taxe fédérale sur le carbone impose un prix direct sur les émissions de gaz à effet de serre (GES). Son principe est simple : tu pollues, tu payes.
En parallèle, la bourse du carbone est un marché où les entreprises doivent détenir un droit d’émission pour chaque tonne de CO₂ émise. En somme : tu achètes le droit de polluer.
Duhaime cible la taxe fédérale sans doute parce qu’elle est plus directement perceptible (par l’augmentation des prix), bien que les deux systèmes aboutissent à faire porter leurs coûts sur les consommateurs.
Reste une question clé : ces mesures réduisent-elles réellement les GES, ou les progrès observés viennent-ils des technologies ou d’une prise de conscience générale ?
Quant à l’argument de Duhaime – proposant de réduire nos efforts environnementaux au motif que la Chine pollue plus –, c’est une profonde débilité.
Enfin, tout ce débat repose sur l’idée que les GES sont nuisibles, une prémisse que je ne partage pas entièrement.
Le PQ excelle lui aussi dans l’art de rire du monde.
https://www.journaldemontreal.com/2025/05/20/taxe-carbone-quebecoise–pspp-promet-de-reduire-le-prix-a-la-pompe
Ils promettent d’aligner nos prix sur l’Ontario (où l’essence est 15 ¢ moins chère), tout en maintenant la taxe carbone – qui ajoute 8 à 10 ¢/litre et que 56 % de la population veut abolir. Leur solution ? Une réduction de 7 à 14 ¢ le litre !! Oui ! Oui ! 7 à 14 ¢ pour combler un écart de 15 ¢. Leur comptable doit certainement compter avec ses doigts.
Et comment comptent-ils réduire les prix ? Soit en abaissant la TVQ sur l’essence (ce qui priverait l’État de 800 millions à 1,5 milliard), soit en lançant un nouveau programme de remboursements (et donc encore plus de bureaucratie).
Mais après tout, avec un déficit de 13 milliards, qu’est-ce qu’un ou deux milliards de plus ?
Si l’absurdité était une monnaie, le PQ aurait déjà comblé le déficit.
Douche
Surtout lorsque Duhaime mentionne que l’on se fait pomper !
Dans sa bouche, ça sonne…ahhhhhhhhh