Ça me rappelle quand j’avais 20 ans (1987), j’étais à l’université et j’avais rencontré une fille de petite vertu aux Foufounes électriques (bar sur Ste-Catherine, à Montréal). C’était la belle époque des dernières vraies années punk. La fille était de cette mouvance-là et je lui avais mis une laisse pour aller dans un bar (sur la rue Côte-des-Neiges). Je tenais la laisse, la fille était attachée au niveau du cou et un des boss ou un simple employé, je ne sais plus, s’était insurgé et j’ai dû la détacher. Au retour de mon appartement, on s’était bien amusés. Pas besoin de dire que ce n’est pas elle que j’ai mariée ni avec elle que j’ai eu des enfants.
Histoire autant inintéressante que purement inventés par un esprit sans imagination, mythomanie: trouble du comportement dans lequel une personne raconte des mensonges élaborés, souvent invraisemblables, à propos d’elle-même. Ces histoires sont parfois tellement extravagantes qu’elles défient toute crédibilité (ex. : dire qu’il était à l’université et qu’il avait rencontré une fille de petite vertu aux Foufounes électrique…)
Pourtant, c’est ce qui est arrivé. Elle s’appelait Margot et durant le temps qu’on fut ensemble (un mois car après je rencontrais celle qui allait devenir la mère de mes quatre enfants), je l’avais débaptisée pour la nommer Carole. Tu dois avoir une vie bien plate pour trouver cette histoire extravagante. C’est juste une anecdote. J’ai de multiples histoires bien plus bizarres et amusantes que j’ai vécues que de mettre une laisse à une femme, de petite vertu soit-elle. Il ne faudrait pas que je te raconte ma vie, tu t’étoufferais. Est-ce de la jalousie? Comment prendre le temps de venir écrire pour avoir un besoin tel de dire que ceci n’est pas arrivé? Une chance que je ne t’ai pas dit que deux mois après l’a naissance de mon troisième enfant, j’ai rencontré ma femme actuelle avec qui j’ai deux magnifiques jeunes enfants. J’ai eu mon quatrième avec la première, deux ans plus tard. J’ai été bigame (sans rien cacher à personne) durant cinq, six ans. Cette année, cela fera vingt-cinq ans que nous sommes ensemble. Elle a dix-sept ans de moins que moi. Et dans mon palmarès, cette histoire est très loin de celles que je qualifierais d’extraordinaires, d’extravagantes ou de bizarres. Et je m’excuse de te le dire en pleine face, nous sommes très heureux ensemble. Je sais, c’est dur pour toi, un petit minable qui porte sa hargne pour ne pas se voir en pleine face.
En quoi aller à l’université n’est pas compatible d’aller à un bar? Tu es un vrai demeuré. Pourtant, tout est vrai. Ce n’est qu’une anecdote. Des histoires extraordinaires, extravagantes ou bizarres, j’en ai vécues de bien plus fortes. Tu dois avoir une vie plate. Elle s’appelait Margot et je l’avais débaptisée pour la nommer Carole. Elle fut avec moi un mois puisque après je rencontrais celle qui fut la mère de mes quatre enfants. Deux mois après son troisième accouchement, je rencontrai celle qui est avec moi depuis 25 ans. Nous avons deux jeunes enfants. Je fus bigame pendant cinq, six ans (sans rien cacher à personne). Elle a 17 ans de moins que moi. Et ceci, dans mon palmarès personnel, ne fait pas partie de mes histoires extraordinaires ou extravagantes. De quoi souffres-tu pour ressentir le besoin de venir écrire à quelqu’un que tu connais pas que ce qu’il écrit n’est pas vrai. Une jalousie maladive? Tu portes ta hargne pour te cacher de qui tu es, un pauvre misérable. Et là, je vais te dire quelque chose, ça te fera mal : nous sommes heureux. Comme ça doit te faire bouillir, ma petite hystérique.
Aujourd’hui, sur Côte-des-Neiges, on voit plein de filles lourdement voilées derrière leur maître et personne pour s’insurger (surtout pas nos braves féministes intersectionnelles).
Oui mais quand on importe des enrichisseurs, faut pas s’attendre à ce que la civilisation, la galanterie et le respect des femmes tiennent le coup bien longtemps.
Moi je tiens mon ornythorinque en laisse
Une anti-raciste qui fait sa promenade matinale
Groupe sado-maso ?
Ça me rappelle quand j’avais 20 ans (1987), j’étais à l’université et j’avais rencontré une fille de petite vertu aux Foufounes électriques (bar sur Ste-Catherine, à Montréal). C’était la belle époque des dernières vraies années punk. La fille était de cette mouvance-là et je lui avais mis une laisse pour aller dans un bar (sur la rue Côte-des-Neiges). Je tenais la laisse, la fille était attachée au niveau du cou et un des boss ou un simple employé, je ne sais plus, s’était insurgé et j’ai dû la détacher. Au retour de mon appartement, on s’était bien amusés. Pas besoin de dire que ce n’est pas elle que j’ai mariée ni avec elle que j’ai eu des enfants.
Histoire autant inintéressante que purement inventés par un esprit sans imagination, mythomanie: trouble du comportement dans lequel une personne raconte des mensonges élaborés, souvent invraisemblables, à propos d’elle-même. Ces histoires sont parfois tellement extravagantes qu’elles défient toute crédibilité (ex. : dire qu’il était à l’université et qu’il avait rencontré une fille de petite vertu aux Foufounes électrique…)
Ça commence à sentir le troisième âge ici…
Pourtant, c’est ce qui est arrivé. Elle s’appelait Margot et durant le temps qu’on fut ensemble (un mois car après je rencontrais celle qui allait devenir la mère de mes quatre enfants), je l’avais débaptisée pour la nommer Carole. Tu dois avoir une vie bien plate pour trouver cette histoire extravagante. C’est juste une anecdote. J’ai de multiples histoires bien plus bizarres et amusantes que j’ai vécues que de mettre une laisse à une femme, de petite vertu soit-elle. Il ne faudrait pas que je te raconte ma vie, tu t’étoufferais. Est-ce de la jalousie? Comment prendre le temps de venir écrire pour avoir un besoin tel de dire que ceci n’est pas arrivé? Une chance que je ne t’ai pas dit que deux mois après l’a naissance de mon troisième enfant, j’ai rencontré ma femme actuelle avec qui j’ai deux magnifiques jeunes enfants. J’ai eu mon quatrième avec la première, deux ans plus tard. J’ai été bigame (sans rien cacher à personne) durant cinq, six ans. Cette année, cela fera vingt-cinq ans que nous sommes ensemble. Elle a dix-sept ans de moins que moi. Et dans mon palmarès, cette histoire est très loin de celles que je qualifierais d’extraordinaires, d’extravagantes ou de bizarres. Et je m’excuse de te le dire en pleine face, nous sommes très heureux ensemble. Je sais, c’est dur pour toi, un petit minable qui porte sa hargne pour ne pas se voir en pleine face.
En quoi aller à l’université n’est pas compatible d’aller à un bar? Tu es un vrai demeuré. Pourtant, tout est vrai. Ce n’est qu’une anecdote. Des histoires extraordinaires, extravagantes ou bizarres, j’en ai vécues de bien plus fortes. Tu dois avoir une vie plate. Elle s’appelait Margot et je l’avais débaptisée pour la nommer Carole. Elle fut avec moi un mois puisque après je rencontrais celle qui fut la mère de mes quatre enfants. Deux mois après son troisième accouchement, je rencontrai celle qui est avec moi depuis 25 ans. Nous avons deux jeunes enfants. Je fus bigame pendant cinq, six ans (sans rien cacher à personne). Elle a 17 ans de moins que moi. Et ceci, dans mon palmarès personnel, ne fait pas partie de mes histoires extraordinaires ou extravagantes. De quoi souffres-tu pour ressentir le besoin de venir écrire à quelqu’un que tu connais pas que ce qu’il écrit n’est pas vrai. Une jalousie maladive? Tu portes ta hargne pour te cacher de qui tu es, un pauvre misérable. Et là, je vais te dire quelque chose, ça te fera mal : nous sommes heureux. Comme ça doit te faire bouillir, ma petite hystérique.
Wow, voilà ce qu’on appelle maladie mentale.
T’es jamais aller dans le quartier gay toé…
Je me souviens est le genre a s’inventer des histoires qui se passent dans le quartier gay pour avoir un opeu d’attention.
Aujourd’hui, sur Côte-des-Neiges, on voit plein de filles lourdement voilées derrière leur maître et personne pour s’insurger (surtout pas nos braves féministes intersectionnelles).
J’aurais voulu que ce soit moi, mais j’étais pas né en 87…
L’humiliation est une forme de violence conjugale. Il n’y a rien de drôle là-dedans. Et même si c’est stagé, le message est aussi scandaleux.
Oui mais quand on importe des enrichisseurs, faut pas s’attendre à ce que la civilisation, la galanterie et le respect des femmes tiennent le coup bien longtemps.
5 femelles Kebs sont mortes sous les coups de leurs conjoints Kebs francophones en 5 semaines.
Allô le coco franco. !!
Julie… Ça fait du bien de voir que toi et le p’tit pain ne faites qu’un.
C’est pas de la violence, c’est des préliminaires!
T’as oublié de plogger ta maison de femmes battues, Julie.
Ouf, ce qui se passe dans ta chambre à coucher doit être bien morne.
Et ton petit ton moralisateur trahi quelqu’un d’insupportable dans une conversation.
C’est dans le secteur où on voit souvent Sergaz en tricycle sur la voie élevée.
Combien de fois par semaine la Clique se fait-elle troller?
Et combien de sinistres personnages sévissant ici vont en profiter pour prendre cette mauvaise blague et affirmer que « La société woke est malade! »?
avec un plug anal, certain
Oh ouiiiiiii
Ils font des modèles assez larges pour tenir tout seul dans ton autoroute à saucisses?
Si tout le monde est consentant, je ne vois pas de problème à part les trouvé vraiment spécial.
Parce qu’en faisant ça en public ils te font participer à leurs jeux sexuels. En privé + consentement = pas de problème
Imagine le contraire maintenant, une blanche qui tient un noir en laisse………….
« bof, c’est juste stagé! »
Là ça serait tout à fait normal !
« La même scène au défilé de La Fierté a pourtant suscité l’admiration de nos chroniqueur.e.s de Radio-Canada. » – Pierre Foguilia
Welcome to the club!!!
Il promène sa woke …Bravo Mamadou !
Du moment qu’il ramasse ses crottes.
Certains ont besoin maladif d’attention. Maintenant que tout le monde a son gros tatou bleuâtre cringe, ça prend autre chose.
Pas pire qu un niqab
Étrange que Julie St-Jacques ne se soit pas manifestée sous cette publication.
C’est elle qui est en laisse