C’est le fun pour les techniciens!
Malgré un accord, Éric Salvail refuse toujours de payer ses techniciens. Il s'était engagé à le faire. Ça représente une somme de 70 000 $ | Minable jusqu'à la fin. https://t.co/qsKBqSoYYb
— Sylvain Dubé (@syldube59) August 26, 2025
Commentaire inutile à m’envoyer: hargneux!
Dans le cas présent, l’expression «il y a des coups de pied au cul qui se perdent» prend tout son sens!
Commentaire inutile à m’envoyer: Salvail – en tant que «bottom» – en redemanderait!
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Je suis horny
les matante savent pas c’est quoi un technicien….
Condescendance quand tu nous tiens.
Elles ne savent pas non plus c’est quoi un »bottom »
Pourquoi?
Des posts sur Salvail et Rozon en quelques heures!
Tant qu’à y être, pourquoi ne pas parler des vidanges qui puent et des rats dans HOMA?
On resterait dans la thématique ordures!
Des beaux déchets avec protection d’un certain Fadi
Le cul en l’air pour bien se faire enc** par Le Très Miséricordieux.
Aussi!
Tant que vous oublier moi pis que je fais rien de good, ça est ben ben good!
Voter Liberal, c’est le Party! Avec Austin Powers pis des chicken wings elbows up de Tim Hortons!
Monsieur Kéquette
Pas mort, lui?
Salvail ferait un bon ami pour Dudu qui ne paie pas ses taxes.
It’s super le fun que ça est ben ben intéressant, pas comme mon deficit qui explode le red ink disaster de Djoestenn réin-carnée!
Mon CV qui négocie avec Austin Powers pour les chicken wings Liberelbows uparty fait tellement peur à Trump que ça dérange même plus that much si on fait brankrupt, yahoo!
$70000/100 techniciens=$700.00/techniciens.
Après impôts, $350.00.
Tournez la page les gars et passez à autre chose.
Cent techniciens. Parce c’est d’même.
$70 000 ça fait quand même beaucoup de pipes.
Vive OF
« Vous saurez que j’ai tout appris de lui! Il m’a généreusement éclaboussé de son talent et semé en moi la graine du showbusiness! » – Jean-Philippe Vautrer
Éric Salvage et Jean-Philippe Vautrer, le secret le mieux gardé dans l’industrie de la variété…
Astheure je suis en burn-out
On s’en prend à lui, acharnement de dretisses idiots.
Il n’a pas à les payer. Encore du gros n’importe quoi de la Clique.
Il avait déjà affirmer « être ébranlé’ par la situation. Je le comprend tellement.:) -Joel Legendre
Juste branlé
Au début du XXe siècle, je vendais dans les bars quelques-uns de mes textes (des extraits de Épiphanie du silence). J’offrais deux séries d’une dizaine de pages chacune que je vendais 10$ pour les deux ou 5$ pour une. J’étais aux études et c’était très payant (en moyenne, entre 35 à 45$ de l’heure. Mon record pour une heure, 115$ (et 110$ et ce au même bar, Bílý Kůň)).
Un jour, à l’extérieur, je le croise et je l’aborde en lui expliquant l’objet de mes textes. Il me regarde une seconde et en ne disant absolument rien, il s’en va.
Un vrai tas de marde.
Ça me rappelle la mayonnaise, mais parfois aussi la crème sûre. Les premières fois sont mystérieuses, puis on en redemande.
Je passe lentement ma langue sur mes lèvres.
« mystérieuses »? « onctueuses », « délicieuses », « crémeuses », « enivrantes », « jouissives », etc.
Quel régal
Miam
Oups! XXIe siècle*
En 1901 ?
Éric pourtant n’a jamais été regardant pour sortir sa bourse.