LOL… pas contente!
3 ANS DE CEGEP EN JOURNALISME, ÇA T’ÉLÈVE AU-DESSUS DES MISÉRABLES PODCASTEURS pic.twitter.com/rGljAhxTbP
— Pat Laliberté – La Tribune du peuple (@Pat77432407) December 18, 2025
Commentaire inutile à m’envoyer: QuB radio c’est pas un podcast?

Elle est en onde et ne sait même pas parler correctement. Elle est du même niveau que les podcasts.
Il faudra réinventer les métiers…
Allez donc élever des chèvres, vous autres
En espérant que vous consentirez à vous instruire…
Ce qu on voit depuis un bon moment , les medias traditionnels ne posent plus les vrais
questions
Pensent tous pareils
Pensée unique sans aucune discernement
« La liberté, c’est de pouvoir parler où on veut et de ce qu’on veut », c’est clair. Mais bon, moi, j’veux bien te croire, ça reste que ça sonne un peu vide, tu vois ? Parce que, franchement, le qualitatif, il se fait de plus en plus rare partout. Que ce soit chez le journaliste, le mécanicien ou même le service de garde, y’a comme un truc qui se perd, tu me suis ?
Parlant de médiocres podcastrices avec l’équivalent d’un Cégep; il fallait entendre ce matin à Rad-Can les survivantes Pénéfloppe et Sophie Grégouare aux bords des larmes, se racontant, indignées, comment elles avaient été larguées par Philippe Fhémur et Justin Troudeau
Tout descend vers le bas malheureusement.
J’ai toujours été convaincu que les réseaux sociaux ont, justement, brisé notre tissus social et une bonne partie de notre jeunesse.
Encourager les influenceurs et podcasteurs c’est élever les médiocres au rang de stars. Il faut arrêter de penser que c’est un travail.
En principe, dans un monde normal, ces insignifiants resteraient anonymes.
Dans le temps de nos ancêtres, on accordait aucune importance aux idiots.
Ils faisaient les tâches qu’on leur attribuait pis on « checkait » pour ne pas qu’ils fassent de gaffes.
Les malades mentaux, eux, on les envoyait en institution.
Le format radio de Qub est précisément du style podcast. C’est du contenu, du divertissement. Bien qu’ils soient en direct, ils ne donnent pas la météo, la circulation ou le bulletin sports deux fois l’heure comme sur une radio locale ou régionale. Ils sont filmés pour une autre plateforme en format podcast, loin des ondes hertziennes.
À part Dutrizac Qub est une garderie à ciel ouvert sans leadership.
Pendant que Péladeau s’occupe d’autres dossiers d’envergure la programmation et les orientations n’ont presque pas changés depuis 3 ans et ne vont pas vers une direction alignée avec les besoins, désirs et intérêts de l’auditoire québecois.
Au moins il y a du bon, on voit tout le manque de profondeur des chroniqueurs/chroniqueuses et invité(e)s qui autrefois pouvaient nous tromper et sembler intelligent(e)s avec de courts textes dans un journal. Maintenant grâce à la convergence médiatique on peut les écouter parler et réfléchir, et les laisser s’auto-discréditer eux-même par leurs incohérences évidentes, leur émotivité sélective, leur manque de curiosité hors de leurs terrains de pensée pré-mâché qui les maintient inclus dans leurs cercles d’amis.
Et l’avenir à court-terme ne s’annonce pas nécessairement meilleur quand on voit les marmailles de banc d’école qui travaillent là en coulisse et qui sont catapultés en ondes pendant l’été et aux congés fériés ou quand un animateur est absent ou malade (comme ces 2 là).
Leur problème n’est pas un manque d’expérience ou leur âge, simplement ils ont des façons de réfléchir et des conceptions du monde profondéments infantiles et resteront ancrés et plafonnés ainsi probablement une majorité de leur vie adulte, surtout dans une société qui n’encourage pas un développement adulte face à un éternel étirement de l’enfance et de l’adolescence qui créent des consommateurs moins outillés et sophistiqués et plus faciles à garder captifs d’une impuissance acquise qui les force à continuer à consommer. On voit ces problèmes flagrants mêmes dans leurs personnels chevronnés et «has been» qui font de l’animation.
Tant qu’à se faire étiquetter constamment de fox news québecois et que tous leurs animateurs sont toujours en train de compenser constamment vers la gauche dans tous leurs propos pour ne pas être châtié de leur entourage du showbiz, ça prendrait en tête de ça quelqu’un de rigoureux et de politiquement réellement centre-droit pour gérer ce navire s’ils veulent se démarquer réellement dans l’écosystème médiatique. Parce qu’ils ont quand même une infrastructure et un système de mise en onde bien rodé et qui semble efficace si on oublie le problème du contenu verbal et mental de leurs employés.
Ça prendrait Guy Nantel à QUB pour ajouter un peu de crédibilité.
Ce n’est pas sa loghorré superficielle et émotionnelle biaisé (Poilievre hum-hum. Bonjour la neutralité journalistique) digne d’une discussion privée de gauchistes conditionnés qui motivera les auditeurs à revenir vers eux. Des études, aussi longues soient-elles, ne pourront jamais être un gage d’intelligence, d’un esprit analytique pointu et surtout pas une attestation de bon-sens. En outre, les auditeurs sont plus intelligents, lucides et perspicaces que ce que pourraient croire ces gens avec leurs propos surprenants: « mâche-t-il sa gomme à gauche ou à droite? » . Ce que je viens d’écouter est l’antithèse de ce que je conçois comme étant des propos acceptables dans un cadre professionnel. Il est aussi important de départager journalisme et opinion. Les médias ont un examen de conscience à faire car les limites qui distingues l’information et le militantisme ont été largement surpassées. Et pour finir, la maîtrise et le contrôle des émotions sont des prérequis élémentaires afin de pratiquer un tel métier. Nous ne voulons pas assister à des séances de frustrations perceptibles.
C’est sûr que les politiciens vont aller voir un podcasteur populaire au lieu d’aller en entrevue avec un journaliste plus traditionnel.
Ce qu’ils cherchent, c’est un micro qui a l’oreille d’une masse critique de gens. C’est pour cela qu’ils allaient au micro des interviewers journalistiques, pas parce qu’ils aimaient spécialement votre compagnie.
Lorsque le journalisme traditionnel étaient à peu près le seul micro avec un auditoire conséquent qui voulait bien les recevoir, alors ils y allaient, même si cela voulait dire être prêt à prendre un peu de chaleur. Un politicien qui n’atteint pas les gens n’existe tout simplement pas.
Mais maintenant que n’importe quel ti-clin peut réussir à avoir l’oreille des plusieurs dizaines de milliers de gens, évidemment que les politiciens vont préférer aller les voir à la place des journalistes. Imagine, tu peux vendre toute ta salade et tout ce que tu a en face de toi, c’est un jeune de 22-23 ans qui te pose comme question c’est quoi ton album de musique de l’année. Tu obtiens ta tribune, mais sans te faire poser des questions par un Paul Arcand ou un Benoit Dutrizac. T’es mort de rire.
Le pire c’est que cette fille risque fort de se retrouver sur un podcast éventuellement et là, comme par magie, son discours va changer.
Après, quand tu vois le manque d’impartialité sur des médias traditionnelles comme par exemple, Radio-Canada, peut-on vraiment en vouloir à un gars comme Poilievre d’aller à un podcast parler de son programme politique plutôt qu’à un tribunal où on le laissera pas placer un mot? Si les médias traditionnels étaient plus neutres, de un, ils auraient une meilleure audience et de deux, les politiciens seraient plus enclins à y aller.