Richard Labbé sur les fefans et le dernier rang du CH!
Tellement vrai!
Commentaire inutile à m’envoyer: avant on parlait de la coupe, maintenant on parle de faire les séries!
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Le chum de Mononcle Kinky
1 année il y a
Les fe-fans se doivent de remercier les CHaudrons de Montréal qui ont quand même réussis a aller chercher 51 points sans gardien No 1, faut le faire.
Le chum de Mononcle Kinky
1 année il y a
Même mort, Guy Lafleur a réussi a sauver le CH d’une fin de saison catastrophique
Dr. Vinny Boombatz
1 année il y a
Dans le temps de Sam Pollock, le canadien était capable de faire des entourloupes pas possible pour arriver à ses fins. Il y a eu pendant 2 ans une règle qui donnait au canadien le privilège de repêcher le premier joueur québécois. Pollock ne laissait pas sa place pour passer des sapins aux autres DG.
Sam Pollock n’a pas été foutu de repêcher Mike Bossy en 1977.
Fin d’une époque
1 année il y a
Guy ! Guy ! Guy ! Guy ! Guy !
Jeune Viève
1 année il y a
Faut dire qu’à une époque, la grosse histoire d’un match de hockey c’était qui avait mis le but gagnant dans le filet, et que sa couverture médiatique pas une long powerpoint des ressources humaines sur la convention collective et des clauses de non-change pour aller où et pour combien de sacs de pinottes…
Mais bon, c’est sûr que pour les comptables en bas bruns, le sport professionnel est rendu telllllleeement excitant!
Le prophète
1 année il y a
Les premiers seront les derniers!
Samamad
1 année il y a
Il a quand même pas inventé la roue à trois boutons. Ni découvert que la Lune, comme les lapins en chocolat, est vide à l’intérieur.
La pièce manquante était Roy et les Nordiques l’auraient probablement jamais eu sans déménager au Colorado. Le repêchage est pour beaucoup dans la coupe de 96, mais ce n’est pas que ça.
plateaupitheque
1 année il y a
Les Canadiens avait priorité sur le joueurs Canadiens français
Les fe-fans se doivent de remercier les CHaudrons de Montréal qui ont quand même réussis a aller chercher 51 points sans gardien No 1, faut le faire.
Même mort, Guy Lafleur a réussi a sauver le CH d’une fin de saison catastrophique
Dans le temps de Sam Pollock, le canadien était capable de faire des entourloupes pas possible pour arriver à ses fins. Il y a eu pendant 2 ans une règle qui donnait au canadien le privilège de repêcher le premier joueur québécois. Pollock ne laissait pas sa place pour passer des sapins aux autres DG.
Un privilège qui a permis au Canadien de repêcher Michel Plasse et Roger Bélisle en 1968 puis Réjean Houle et Marc Tardif en 1969.
On va s’entendre sur une chose : ça n’a eu aucun impact.
Sam Pollock n’a pas été foutu de repêcher Mike Bossy en 1977.
Guy ! Guy ! Guy ! Guy ! Guy !
Faut dire qu’à une époque, la grosse histoire d’un match de hockey c’était qui avait mis le but gagnant dans le filet, et que sa couverture médiatique pas une long powerpoint des ressources humaines sur la convention collective et des clauses de non-change pour aller où et pour combien de sacs de pinottes…
Mais bon, c’est sûr que pour les comptables en bas bruns, le sport professionnel est rendu telllllleeement excitant!
Les premiers seront les derniers!
Il a quand même pas inventé la roue à trois boutons. Ni découvert que la Lune, comme les lapins en chocolat, est vide à l’intérieur.
Le peuple manque de héros.
La pièce manquante était Roy et les Nordiques l’auraient probablement jamais eu sans déménager au Colorado. Le repêchage est pour beaucoup dans la coupe de 96, mais ce n’est pas que ça.
Les Canadiens avait priorité sur le joueurs Canadiens français