non mais avec maladie mental oui dans les 2 cas c’est non pour les enfants …
Clodius
1 mois il y a
Clique radote toujours la même affaire lâche les radio de Québec pis écoute tes idiots de pas bon humoristes à Mtl…bref trouve d’autres sujets …intéressant svp..
Apparemment, il y a plusieurs Sergaz, mais si ce n’est pas à toi que je m’adresse, pourquoi tu viens brailler comme une filette ? Garde ton énergie pour soigner ton vocabulaire, ça t’évitera de passer pour un attardé volontaire.
Qu’est-ce que tu comprend pas dans « On te reconnaîtrait entre mille » ?
Cela signifie que même s’il y avait mille Sergaz, cela ne changerait rien : on te reconnaîtrait toujours à ta grossièreté et à ton manque d’intelligence.
Peut-être que si ces «diversités» vivaient simplement leur vie au lieu de réclamer ad nauseam des changements sociaux inutiles, tout ça n’existerait pas.
C’est le contraire ! Pour que la diversité puisse simplement vivre leur vie, ça prend des changements sociaux. Tu liras l’article de La Presse sur la situation des femmes cols bleus à Montréal : tu verras des exemples de zoufs avec lesquels elles doivent travailler.
Avec le million de nouveaux arrivants par année au Canada, qui nous viennent de pays avec mentalités et idéologies rétrogrades, misogynes et tarées, le seul changement que tu vas voir, c’est le retour aux années 40
Les femmes au sein d’un milieu d’hommes machos, c’est un tout autre problème. Un non binaire dans le lot qui plaide pour avoir «sa» salle de bain serait un meilleur exemple de cette diversité qui ennuie la masse.
Vas-y, partage-nous ces exemples : tu as des liens stp ?
Et non, c’est pas un tout autre problème : si des clowns se croient encore libres d’agir comme ça au travail, c’est justement parce que les changements sociaux ne sont pas encore terminés. Vivre et laisser vivre, c’est pas tellement compliqué.
Hier j’étais dans une boutique à touristes dans le Vieux-Québec, et une de ces LGBT a débarqué. Elle avait le crâne rasé, était obèse (bien sûr), avait des tatouages dans le cou et portait fièrement son macaron du drapeau trans, ainsi qu’un macaron écrit « They/Them » dessus. C’est clairement femme, mais faut virer notre vocabulaire sans dessus-dessous pour ne pas avoir à dealer avec la crise inévitable qui s’en suivra si quelqu’un ose dire « Madame » par accident.
C’est surtout de ça que les gens sont tannés. Elle peut ben être « They/Them » autant qu’elle veut dans sa tête, mais l’imposer aux autres, c’est non.
Je n’ai jamais eu affaire à eux, mais s’il faut éviter « madame » et « monsieur », les appeler « chose » n’apparaît être un bon compromis. « Heille, chose !», me semble que ça sonne bien.
Imagine ceux qui sont obligés de travailler 3 fois plus dur parce qu’ils ont des femmes dans leur équipe et doivent compenser par leur manque de force.
J’ai justement un ami électricien qui m’a récemment parlé de son exaspération à devoir traîner les tambours de fils de sa collègue, en plus des siens.
D’ailleurs, j’ai lu récemment un article (dont je ne retrouve malheureusement plus la source) sur des militaires contraints de porter l’équipement de leurs collègues féminines, celles-ci n’ayant pas la force nécessaire.
Faut croire que les employeurs y trouvent leur compte. Note aussi que les méthodes de travail se sont améliorées et l’accessibilité à des outils mieux adaptés est de plus en plus courante. Pense aux appareils de levage ou de transport. Bref, l’ouvrage est moins dur aujourd’hui en général.
Plutôt que de tergiverser, reconnaissons une évidence : les hommes possèdent les aptitudes physiques et intellectuelles nécessaires pour exercer tous les métiers traditionnellement féminins, alors que la réciproque n’est pas vraie.
Lors de ma visite de l’usine Dragon Forgé (production de poutres d’acier), j’ai constaté qu’aucune femme – à l’exception peut-être d’une lutteuse olympique ukrainienne de 220lbs – ne pourrait manipuler ces charges, malgré les équipements de levage disponibles.
Ce constat ne vise pas à renforcer les stéréotypes, mais à refléter une réalité physiologique : hommes et femmes ont des capacités distinctes. Cela n’implique aucune infériorité globale des femmes, mais une inadéquation objective pour les tâches exigeant une force brute ou une endurance prolongée.
Seul un aveuglement idéologique – nourri par certains discours féministes – permet de nier cette observation de bon sens.
Est-ce que les hommes ont des capacités physiques supérieures aux femmes ? Les résultats sportifs semblent le démontrer. Mais je suis en désaccord pour l’endurance.
Pour ce qui de ton anecdote, ben, c’est ça : une anecdote. Je peux te dire que je connais plusieurs usines qui brassent de l’acier où on trouve des femmes sur le plancher. Je ne crois pas qu’une usine où on compte sur 5 gars pour déplacer des charges lourdes est une usine performante en 2025. J’avais oublié : pour les électriciens, déplacer de lourdes bobines, ça représente quel pourcentage de leur travail ? Ça aussi, c’est à mettre dans les anecdotes.
Quant à l’aveuglement idéologique, c’en est aussi un de s’imaginer que tout était mieux dans le temps et que les femmes n’ont pas leur place dans certaines jobs.
Même si la tâche de transporter des bobines de fils ne compte que pour 5 % du travail, ça demeure la partie la plus épuisante – et souvent déterminante pour la productivité quotidienne.
Le dragon Forgé n’est pas une entreprise non performante à en juger par ses contrats internationaux (comme des ponts et des dômes de stades sportifs et autres).
Historiquement, l’orientation des femmes vers des travaux adaptés à leurs capacités physiques offrait plusieurs avantages : moins de blessures professionnelles, une meilleure adéquation entre leurs aptitudes naturelles et les tâches demandées, des équipes plus homogènes dans les métiers physiquement exigeants, et une productivité optimisée sans recours à des quotas artificiels.
Cela ne signifie pas exclure les femmes des métiers techniques, mais reconnaître que certaines contraintes physiques créent des désavantages objectifs. L’idéal serait des critères réalistes adaptés aux exigences concrètes du poste.
Tout les employeurs cherchent des candidats et toi tu crois qu’ils peuvent se permettre d’éliminer 50%du bassin potentiel pour une tâche à 5% ? N’importe qui de sérieux va dire oui et trouver une solution pour ce 5%, solutions qui existent en passant. Les années 50 sont loin derrière nous.
Votre raisonnement ne tient pas, et je vous l’ai prouvé par 1+1. Je comprends maintenant que j’ai affaire à un « chevalier blanc » qui défendra les femmes coûte que coûte, peu importe ce que la biologie révèle.
C’est comme débattre avec ceux qui affirment qu’il existe plus de deux sexes. Je n’ai pas de temps à perdre avec ces discussions futiles.
« N’importe qui de sérieux va dire oui et trouver une solution pour ce 5%, solutions qui existent en passant. »
Oui, les solutions existent, et je vous le répète encore : la solution, c’est d’engager une personne qualifiée pour le poste, pas de demander à ceux qui ont les compétences de compenser pour ceux qui n’en ont pas. Ça, c’est être sérieux. Pas de transformer chaque critique en fantasme de retour aux années 50.
Dis ce que tu veux, la réalité, c’est que les femmes sont sur le marché du travail et qu’elles vont y rester. Tu me vois comme un chevalier ? Pourtant, tu es celui qui provient d’une époque révolue, s’imaginant protéger les gentes dames des affres du travail physique. Pense ce que tu veux, l’avenir me donne raison.
Votre vision de l’avenir ne semble pas se concrétiser, comme en témoignent les chiffres de votre propre article : la proportion de femmes dans les cols bleus à Montréal est passée de 20 % en 2006 à 14,45 % en 2023. Est-ce vraiment le progrès que vous envisagiez ? Une régression de 20 % à 14 % ?
Par ailleurs, de nombreux hommes hésitent désormais à collaborer avec des femmes, parfois par crainte de fausses accusations. Plusieurs de mes employés refusent par exemple de partager un ascenseur seul avec une collègue, par peur d’éventuelles plaintes pour harcèlement. Peut-être devriez-vous écouter ces témoignages plutôt que de les qualifier d’anecdotes sans valeur.
Enfin, permettez-moi de clarifier ma position une fois de plus : je ne prône pas un retour des femmes en cuisine, mais simplement que chacun occupe le poste correspondant à ses compétences. Cette logique me paraît pourtant évidente.
Les statistiques disent que les femmes sont de plus en plus présentes en construction. 1 employeur qui laisse un climat de travail pourri n’est pas représentatif de l’ensemble.
Si des hommes peuvent avoir peur de travailler avec des femmes, imagine le contraire ! Songe à tout le chemin parcouru depuis 50 ans.
Enfin, je m’excuse : j’ai peut-être pesé fort sur le crayon, vous ne semblez pas être si pire.
On parle ici de cols bleus. Elles s’attendent à quoi ? De se retrouver avec des travailleuses de garderie ? Allumez. Vous voulez que soudainement ils se mettent à se comporter en petites fées polies et politiquement correctes ? Ben non, c’est une gang de gars. Peut être partir un garage juste avec des cols bleues féminines ? Je vais en parler à Projet Montréal.
Lorem Ipsum
1 mois il y a
Y a pas plus anti-Québec et anti-francophone que cette madame Maccaroni et son mari, le chef Boyardee …
Elle est vraiment mariée avec le chef boyardee? Le vrai ?
Le gène en question
1 mois il y a
« Les Québécois en ont tout simplement ras-le-bol qu’une infinitésimale partie de la population, ayant une déficience chromosomique, occupe ad nauseam toute l’espace médiatique 365 jours par années. On a qu’à écouter Radio-Canada pour avoir un exemple patent du prosélytisme LGBTQ; devenu aussi subtil que le gavage industriel des oies. » – Pierre Lefardeau
« Va chier! » – Davier Xolan, l’enfant terrible du Plateau en Vuitton
Tommy 'el gro'
1 mois il y a
Une augmentation de la haine? Où ça? À tous les jours les médias de masse sortent des ‘articles’ parlant positivement sur ce groupe.
Avis aux intéressé(e)s
1 mois il y a
L’ensemble des membres du QLP devraient plutôt être escortés à l’abattoir pour haute trahaison envers la nation.
Ce n’est pas un message haineux ici et là dirigé à leur endroit qui me fera verser une larme.
Aussi simple que ça!
1 mois il y a
Cette communauté qui a trop souvent bénéficié de l’aplaventrisme des médias en les manipulant sur tout et sur rien pour tenter de faire avancer leur cause hérite de ce qu’elle mérite!
Duhaime, une p'tite bête de foire
1 mois il y a
J’ai tellement hâte que les électeurs d’Arthabaska me voit sous mon vrai jour.
Pour l’instant, ça me gêne, il me manque du courage, mais ça va venir découragez-vous pas
C’est le retour du balancier. À vouloir toujours politiser et ramener tout à cette communauté les gens en ont fait une indigestion. C’est le « playbook » des politiciens, créer un problème pour arriver avec une solution.
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
À travers son chapeau!
1 mois il y a
Les réseaux sociaux…. Ce n’est pas la vraie vie!
Bourrassa numéro 2.
1 mois il y a
Voici comment faire un débat sur un sujet qui ne concerne que quelques individus en évitant de parler des vrais débats de société.
Le Philosophe
1 mois il y a
Faque en gros tout le monde est écoeuré par le LGBTQ+ et la victimisation. Des enfants aux vieillards.
Pis ce n’est pas le LGBTQ+ le problème, c’est tout les humains.
Tellement que même les médias en parle presque pu. Tellement que ça à tué deux parti politique, le NPD et QS en plus de sonner le glas au wokisme en général.
Pis comme prévu ou comme la fin de la pandémie… On ne va pas en parler, on va faire comme si de rien était et on va continuer.
Bien sûr il va avoir des retardataire comme poste canada et des tartiste.
Un peu comme un vieux communiste après la chute du mur de berlin.
momo
1 mois il y a
le problème des lgbtqplusplus, on en parle trop et comme plusieurs disent ça fatigue tout le monde? la pointe de l’iceberg est qu’ils manifestent pour la palestine alors que ces derniers sont anti homosexuel?
Comme l’année dernière, je crois, où une manifestation pro-LGBT avait été accueillie par une contre-manifestation de musulmans, et où quelques coups s’étaient échangés.
Mais nous ne sommes pas à une contradiction près. C’est un peu comme :
Les gauchistes qui appellent à une immigration de masse, puis se plaignent du manque de logements, de la stagnation des salaires, de l’insécurité, et j’en passe. Ils se revendiquent pro-travailleurs, alors qu’en réalité, leurs revendications rejoignent celles des patrons.
Les souverainistes qui prônent l’immigration haïtienne (parce qu’ils parlent français) pour « faire un pays », alors que ces mêmes gens contribuent à détruire leurs projets nationaux.
Les va-t-en-guerre qui souhaitent qu’Israël écrase la Palestine (voire tous ses voisins), avant de se plaindre de l’afflux massif de réfugiés dans nos pays.
Des contradictions et des idiots utiles, on pourrait en énumérer pendant des heures.
Le fripon maléfique
1 mois il y a
Le suffixe « phobe » réfère à une peur, une crainte de quelque chose. Je n’ai jamais vu quelqu’un prendre ses jambes à son cou en voyant un trans ou une personne homosexuelle.
Plusieurs n’ont pas peur d’eux, ils ont d’avantage de la difficulté à les accepter, ce qui est très différents.
De toute façon, les journées de – inserez ici n’importe quoi – ne veulent plus rien dire. Trop, c’est comme pas assez.
Si tu étais assis sur une terrasse et que deux femmes à barbe de 6″3′, 250 lbs, te faisaient un clin d’œil, tu comprendrais ce que veut dire « prendre ses jambes à son cou ».
« Je suis outré! Pourquoi les urinoirs sont si haut dans les latrines de Radio-Canada? J’suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds pour pas que mon p’tit bout de peau flasque trempe dans le jus de pastille désinfectante! Ça brûle! » – Jean-Sébastoune Girard
On va faire de nouveaux collants avec cette polémique, ça ça coller!
Pourquoi pas aussi…
«Ma drag queen sexuellement attirée par les enfants, mon choix»
non mais avec maladie mental oui dans les 2 cas c’est non pour les enfants …
Clique radote toujours la même affaire lâche les radio de Québec pis écoute tes idiots de pas bon humoristes à Mtl…bref trouve d’autres sujets …intéressant svp..
Tu peux faire de même et la fermer tsé.
Je comprends pas pourquoi le psy te laisse l’accès à internet.
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
Apparemment, il y a plusieurs Sergaz, mais si ce n’est pas à toi que je m’adresse, pourquoi tu viens brailler comme une filette ? Garde ton énergie pour soigner ton vocabulaire, ça t’évitera de passer pour un attardé volontaire.
On te reconnaitrait entre mille avec les trois mêmes insultes que tu répètes en boucle et ton raisonnement de bouffon.
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
Qu’est-ce que tu comprend pas dans « On te reconnaîtrait entre mille » ?
Cela signifie que même s’il y avait mille Sergaz, cela ne changerait rien : on te reconnaîtrait toujours à ta grossièreté et à ton manque d’intelligence.
Oui Monsieur Sergaz est populaire.
Si ce n’est pas à toi que je m’adresse, pourquoi tu viens brailler comme une fillette ?
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
Si tu t’appelles Mr. Peanut, c’est donc que t’en a pas une grosse!
Ahah ! Preuve que tu n’es pas lui : Le véritable Sergaz n’aurait jamais réussi à me faire sourire !
Si tu t’appelles Sergaz, c’est parce que tu t’appelles Serge et que tu es pompiste.
Ah Sergaz, toi, ma belle grosse bizoune !
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
Oui, plusieurs Sergaz sur cette page et pas un plus intelligent que l’autre.
Celui qui le dit c’est lui qui l’est.
C’est la moitié de ton rêve ça, créer plein de petits Sergaz pour contrer les pro-toute.
Mais là c’est en train de finir comme dans l’annonce des robot-balayeuses qui se rebellent.
https://youtu.be/Y2T_LS0blK8
Peut-être que si ces «diversités» vivaient simplement leur vie au lieu de réclamer ad nauseam des changements sociaux inutiles, tout ça n’existerait pas.
C’est le contraire ! Pour que la diversité puisse simplement vivre leur vie, ça prend des changements sociaux. Tu liras l’article de La Presse sur la situation des femmes cols bleus à Montréal : tu verras des exemples de zoufs avec lesquels elles doivent travailler.
Ciboire ! Elles s’attendaient à quoi en travaillant avec des colons sous-éduqués membres du Boys Club depuis des lustres ?
T’es sérieux ou tu trolls ?????
Avec le million de nouveaux arrivants par année au Canada, qui nous viennent de pays avec mentalités et idéologies rétrogrades, misogynes et tarées, le seul changement que tu vas voir, c’est le retour aux années 40
Les femmes au sein d’un milieu d’hommes machos, c’est un tout autre problème. Un non binaire dans le lot qui plaide pour avoir «sa» salle de bain serait un meilleur exemple de cette diversité qui ennuie la masse.
Vas-y, partage-nous ces exemples : tu as des liens stp ?
Et non, c’est pas un tout autre problème : si des clowns se croient encore libres d’agir comme ça au travail, c’est justement parce que les changements sociaux ne sont pas encore terminés. Vivre et laisser vivre, c’est pas tellement compliqué.
Hier j’étais dans une boutique à touristes dans le Vieux-Québec, et une de ces LGBT a débarqué. Elle avait le crâne rasé, était obèse (bien sûr), avait des tatouages dans le cou et portait fièrement son macaron du drapeau trans, ainsi qu’un macaron écrit « They/Them » dessus. C’est clairement femme, mais faut virer notre vocabulaire sans dessus-dessous pour ne pas avoir à dealer avec la crise inévitable qui s’en suivra si quelqu’un ose dire « Madame » par accident.
C’est surtout de ça que les gens sont tannés. Elle peut ben être « They/Them » autant qu’elle veut dans sa tête, mais l’imposer aux autres, c’est non.
Je n’ai jamais eu affaire à eux, mais s’il faut éviter « madame » et « monsieur », les appeler « chose » n’apparaît être un bon compromis. « Heille, chose !», me semble que ça sonne bien.
J’ai arrêté de lire à « …tu liras La Presse… »
C’est déjà surprenant que tu saches lire.
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
Et tu as arrêté de penser bien avant.
Imagine ceux qui sont obligés de travailler 3 fois plus dur parce qu’ils ont des femmes dans leur équipe et doivent compenser par leur manque de force.
J’ai justement un ami électricien qui m’a récemment parlé de son exaspération à devoir traîner les tambours de fils de sa collègue, en plus des siens.
D’ailleurs, j’ai lu récemment un article (dont je ne retrouve malheureusement plus la source) sur des militaires contraints de porter l’équipement de leurs collègues féminines, celles-ci n’ayant pas la force nécessaire.
Faut croire que les employeurs y trouvent leur compte. Note aussi que les méthodes de travail se sont améliorées et l’accessibilité à des outils mieux adaptés est de plus en plus courante. Pense aux appareils de levage ou de transport. Bref, l’ouvrage est moins dur aujourd’hui en général.
Plutôt que de tergiverser, reconnaissons une évidence : les hommes possèdent les aptitudes physiques et intellectuelles nécessaires pour exercer tous les métiers traditionnellement féminins, alors que la réciproque n’est pas vraie.
Lors de ma visite de l’usine Dragon Forgé (production de poutres d’acier), j’ai constaté qu’aucune femme – à l’exception peut-être d’une lutteuse olympique ukrainienne de 220lbs – ne pourrait manipuler ces charges, malgré les équipements de levage disponibles.
Ce constat ne vise pas à renforcer les stéréotypes, mais à refléter une réalité physiologique : hommes et femmes ont des capacités distinctes. Cela n’implique aucune infériorité globale des femmes, mais une inadéquation objective pour les tâches exigeant une force brute ou une endurance prolongée.
Seul un aveuglement idéologique – nourri par certains discours féministes – permet de nier cette observation de bon sens.
Est-ce que les hommes ont des capacités physiques supérieures aux femmes ? Les résultats sportifs semblent le démontrer. Mais je suis en désaccord pour l’endurance.
Pour ce qui de ton anecdote, ben, c’est ça : une anecdote. Je peux te dire que je connais plusieurs usines qui brassent de l’acier où on trouve des femmes sur le plancher. Je ne crois pas qu’une usine où on compte sur 5 gars pour déplacer des charges lourdes est une usine performante en 2025. J’avais oublié : pour les électriciens, déplacer de lourdes bobines, ça représente quel pourcentage de leur travail ? Ça aussi, c’est à mettre dans les anecdotes.
Quant à l’aveuglement idéologique, c’en est aussi un de s’imaginer que tout était mieux dans le temps et que les femmes n’ont pas leur place dans certaines jobs.
Même si la tâche de transporter des bobines de fils ne compte que pour 5 % du travail, ça demeure la partie la plus épuisante – et souvent déterminante pour la productivité quotidienne.
Le dragon Forgé n’est pas une entreprise non performante à en juger par ses contrats internationaux (comme des ponts et des dômes de stades sportifs et autres).
Historiquement, l’orientation des femmes vers des travaux adaptés à leurs capacités physiques offrait plusieurs avantages : moins de blessures professionnelles, une meilleure adéquation entre leurs aptitudes naturelles et les tâches demandées, des équipes plus homogènes dans les métiers physiquement exigeants, et une productivité optimisée sans recours à des quotas artificiels.
Cela ne signifie pas exclure les femmes des métiers techniques, mais reconnaître que certaines contraintes physiques créent des désavantages objectifs. L’idéal serait des critères réalistes adaptés aux exigences concrètes du poste.
Tout les employeurs cherchent des candidats et toi tu crois qu’ils peuvent se permettre d’éliminer 50%du bassin potentiel pour une tâche à 5% ? N’importe qui de sérieux va dire oui et trouver une solution pour ce 5%, solutions qui existent en passant. Les années 50 sont loin derrière nous.
Votre raisonnement ne tient pas, et je vous l’ai prouvé par 1+1. Je comprends maintenant que j’ai affaire à un « chevalier blanc » qui défendra les femmes coûte que coûte, peu importe ce que la biologie révèle.
C’est comme débattre avec ceux qui affirment qu’il existe plus de deux sexes. Je n’ai pas de temps à perdre avec ces discussions futiles.
« N’importe qui de sérieux va dire oui et trouver une solution pour ce 5%, solutions qui existent en passant. »
Oui, les solutions existent, et je vous le répète encore : la solution, c’est d’engager une personne qualifiée pour le poste, pas de demander à ceux qui ont les compétences de compenser pour ceux qui n’en ont pas. Ça, c’est être sérieux. Pas de transformer chaque critique en fantasme de retour aux années 50.
Dis ce que tu veux, la réalité, c’est que les femmes sont sur le marché du travail et qu’elles vont y rester. Tu me vois comme un chevalier ? Pourtant, tu es celui qui provient d’une époque révolue, s’imaginant protéger les gentes dames des affres du travail physique. Pense ce que tu veux, l’avenir me donne raison.
Votre vision de l’avenir ne semble pas se concrétiser, comme en témoignent les chiffres de votre propre article : la proportion de femmes dans les cols bleus à Montréal est passée de 20 % en 2006 à 14,45 % en 2023. Est-ce vraiment le progrès que vous envisagiez ? Une régression de 20 % à 14 % ?
Par ailleurs, de nombreux hommes hésitent désormais à collaborer avec des femmes, parfois par crainte de fausses accusations. Plusieurs de mes employés refusent par exemple de partager un ascenseur seul avec une collègue, par peur d’éventuelles plaintes pour harcèlement. Peut-être devriez-vous écouter ces témoignages plutôt que de les qualifier d’anecdotes sans valeur.
Enfin, permettez-moi de clarifier ma position une fois de plus : je ne prône pas un retour des femmes en cuisine, mais simplement que chacun occupe le poste correspondant à ses compétences. Cette logique me paraît pourtant évidente.
Un peu de lecture :
https://www.lapresse.ca/vivre/societe/201712/18/01-5147547-les-hommes-se-mefieront-ils-des-femmes-au-travail.php
Les statistiques disent que les femmes sont de plus en plus présentes en construction. 1 employeur qui laisse un climat de travail pourri n’est pas représentatif de l’ensemble.
Si des hommes peuvent avoir peur de travailler avec des femmes, imagine le contraire ! Songe à tout le chemin parcouru depuis 50 ans.
Enfin, je m’excuse : j’ai peut-être pesé fort sur le crayon, vous ne semblez pas être si pire.
On parle ici de cols bleus. Elles s’attendent à quoi ? De se retrouver avec des travailleuses de garderie ? Allumez. Vous voulez que soudainement ils se mettent à se comporter en petites fées polies et politiquement correctes ? Ben non, c’est une gang de gars. Peut être partir un garage juste avec des cols bleues féminines ? Je vais en parler à Projet Montréal.
Y a pas plus anti-Québec et anti-francophone que cette madame Maccaroni et son mari, le chef Boyardee …
Elle est vraiment mariée avec le chef boyardee? Le vrai ?
« Les Québécois en ont tout simplement ras-le-bol qu’une infinitésimale partie de la population, ayant une déficience chromosomique, occupe ad nauseam toute l’espace médiatique 365 jours par années. On a qu’à écouter Radio-Canada pour avoir un exemple patent du prosélytisme LGBTQ; devenu aussi subtil que le gavage industriel des oies. » – Pierre Lefardeau
« Va chier! » – Davier Xolan, l’enfant terrible du Plateau en Vuitton
Une augmentation de la haine? Où ça? À tous les jours les médias de masse sortent des ‘articles’ parlant positivement sur ce groupe.
L’ensemble des membres du QLP devraient plutôt être escortés à l’abattoir pour haute trahaison envers la nation.
Ce n’est pas un message haineux ici et là dirigé à leur endroit qui me fera verser une larme.
Cette communauté qui a trop souvent bénéficié de l’aplaventrisme des médias en les manipulant sur tout et sur rien pour tenter de faire avancer leur cause hérite de ce qu’elle mérite!
J’ai tellement hâte que les électeurs d’Arthabaska me voit sous mon vrai jour.
Pour l’instant, ça me gêne, il me manque du courage, mais ça va venir découragez-vous pas
Me voilà…
YouHou!
C’est le retour du balancier. À vouloir toujours politiser et ramener tout à cette communauté les gens en ont fait une indigestion. C’est le « playbook » des politiciens, créer un problème pour arriver avec une solution.
À quand une journée pour les arachnophobes?
Tu as déjà ta journée dédiée à la maladie mentale – Bell Cause pour la cause. N’en demande pas trop.
À quand une journée de vacances, Sergaz ?
Tu apprendras qu’il y a plusieurs Sergaz sur ce blog. Je sais que c’est difficile à concevoir pour ta tête de niais attardé.
Les réseaux sociaux…. Ce n’est pas la vraie vie!
Voici comment faire un débat sur un sujet qui ne concerne que quelques individus en évitant de parler des vrais débats de société.
Faque en gros tout le monde est écoeuré par le LGBTQ+ et la victimisation. Des enfants aux vieillards.
Pis ce n’est pas le LGBTQ+ le problème, c’est tout les humains.
Tellement que même les médias en parle presque pu. Tellement que ça à tué deux parti politique, le NPD et QS en plus de sonner le glas au wokisme en général.
Pis comme prévu ou comme la fin de la pandémie… On ne va pas en parler, on va faire comme si de rien était et on va continuer.
Bien sûr il va avoir des retardataire comme poste canada et des tartiste.
Un peu comme un vieux communiste après la chute du mur de berlin.
le problème des lgbtqplusplus, on en parle trop et comme plusieurs disent ça fatigue tout le monde? la pointe de l’iceberg est qu’ils manifestent pour la palestine alors que ces derniers sont anti homosexuel?
Comme l’année dernière, je crois, où une manifestation pro-LGBT avait été accueillie par une contre-manifestation de musulmans, et où quelques coups s’étaient échangés.
Mais nous ne sommes pas à une contradiction près. C’est un peu comme :
Des contradictions et des idiots utiles, on pourrait en énumérer pendant des heures.
Le suffixe « phobe » réfère à une peur, une crainte de quelque chose. Je n’ai jamais vu quelqu’un prendre ses jambes à son cou en voyant un trans ou une personne homosexuelle.
Plusieurs n’ont pas peur d’eux, ils ont d’avantage de la difficulté à les accepter, ce qui est très différents.
De toute façon, les journées de – inserez ici n’importe quoi – ne veulent plus rien dire. Trop, c’est comme pas assez.
Si tu étais assis sur une terrasse et que deux femmes à barbe de 6″3′, 250 lbs, te faisaient un clin d’œil, tu comprendrais ce que veut dire « prendre ses jambes à son cou ».
T’as donc ben des lubies bizarres toi.
« Je suis outré! Pourquoi les urinoirs sont si haut dans les latrines de Radio-Canada? J’suis obligé de me mettre sur la pointe des pieds pour pas que mon p’tit bout de peau flasque trempe dans le jus de pastille désinfectante! Ça brûle! » – Jean-Sébastoune Girard
« J’pense que je vais prolonger mon burnout… » – Wothier
j’ai un truc pour que cela cesse arrêter de nous faire chier avec ça !!!!