On peut lire dans le Journal de Montréal la difficulté de certains artistes hasbeen de joindre les deux bouts. Pauvre eux, ils n’ont plus de sous et personne ne veut les engager!
Bouhouhou..
On peut lire: Sans fonds de pension d’employeur ni économies suffisantes, des artistes québécois qui ont connu la gloire sont obligés ,s’ils veulent être en mesure de payer leur loyer à la fin du mois, de quémander ou de travailler pendant les dernières années de leur vie.
NONNNN, de travailler???? Quelle horreur?
Question, vous croyez que vous êtes les seuls dans cette situation, les pleurnichards? Bienvenue dans la réalité.
Pourquoi doit-on toujours revenir sur le pauvre sort de ces artistes? Combien de gens dans d’autres domaines vivent la même situation?
Pendant que vous faisiez le party pendant toutes ces années, d’autres se serraient la ceinture et économisaient. Ils ont jamais entendu parlé de Reer?
Aucune pitié avec vos faces d’enterrement, désolé.
Est bonne celle-là!
Commentaire inutile à m’envoyer: ils ont juste à jouer dans les Détestables.