Labeaume parle à qui il veut bien, mais surtout au JDQ.

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Le Maire Labeaume n’aime pas les gens qui sont en retard. Encore moins, lorsque ce sont des journalistes qui parlent au chef de l’opposition.

En gros, les journalistes parlent un peu trop longtemps au chef de l’opposition, se rendent ensuite au bureau de Labeaume pour une mêlée de presse (scrum). Labeaume est fâché fâché et ferme la porte de son bureau aux journalistes.

Tous les journalistes?

Non!

On peut lire dans le Soleil: Seules deux journalistes du Journal de Québec ont pu avoir accès à temps et recueillir les propos du maire sur des sujets aussi importants que la rencontre de mardi matin sur les régimes de retraite.

Tiens tiens tiens, seulement 2 journalistes du JDQ… que c’est intéressant ça.

HA HA HA, plus subtil que ça, même un aveugle s’en rendrait compte.

Pathétique.

Commentaire inutile à m’envoyer: peut-être que les journalistes du Journal de Québec marchaient plus vite.

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