Bon… Cassivi va arrêter d’en parler maintenant?

Cassivi qui après 20 ans… nous dit encore que nos films québécois ne sont pas vus!

Mon top 6….

On peut lire:

Numéro 6:

Pourquoi notre cinéma est-il si triste ? Pourquoi ses personnages ont-ils si souvent mauvaise mine ?

Numéro 5:

Moins de 4000 personnes ont vu en salle La grande noirceur, Dérives, Origami ou encore Nous sommes Gold, longs métrages finalistes au Gala Québec Cinéma dimanche

Numéro 4:

Exactement 338 Québécois se sont rendus dans une salle voir Allure, en lice pour le prix du meilleur son, selon l’Institut de la statistique du Québec.

338!!!!!

Numéro 3:

La palette de couleurs du cinéma québécois de la dernière année varie, pour l’essentiel, entre le gris ciel de mai et l’anthracite. De la dernière année ? De la dernière décennie !

Numéro 2:

J’aimerais dire que, presque deux décennies plus tard, la caricature ne tient plus. Que le cinéma québécois n’est plus gris, froid et déprimant comme un printemps tardif. Mais la vérité, c’est que nos films correspondent encore trop souvent à ce cliché. Depuis des années, ce qui semble surtout fasciner les cinéastes québécois, c’est la détresse humaine, l’aliénation, le désenchantement.

Numéro 1: 

Il se fait du très bon cinéma au Québec. Mais le fait est qu’en 2019, le bassin de cinéphiles intéressés par nos films se résume grosso modo à 4000 personnes.

4000🤔🤔🤔🤔🤔🤔

Commentaire inutile à m’envoyer: moi, c’est Avengers!